Depuis son strip-tease historique (et les quelques jours de prison que cette performance lui a valu), et la production d'une vidéo vantant les mérites de la fin du monde made in Synapses à La Louvière, M. Hibou a en fait repris ses crayons.
Comme sa partie du Rôbeur Chronicles est déjà finie depuis plus d'un mois, il a décidé de donner un petit coup de fouet à un autre projet en chantier depuis plus d'un an: le second tome de l'Extrême Safari Parc.
Pour ceux qui se demandent kékécékéça, vous pouvez
feuilleter quelques pages du premier tome, ou aller faire un tour sur
le site officiel du parc (site un peu à l'abandon, il est vrai).
Comme M. Hibou voit en grand et se dit qu'il dessine assez vite quand il s'y met vraiment, c'est carrément un découpage de 46 planches (le format album franco-belge on ne peut plus classique) qu'il a réalisé.
Les 13 premières planches sont en fait déjà finies. La quatorzième est crayonnée. Il n'y a plus qu'à dessiner les 32 qui restent.
Voilà, j'espère que cette nouvelle fera plaisir à mes fans... Au rythme actuel, l'album sera donc fini quelque part entre 2015 et 2022, surtout qu'on me glisse à l'oreille que ce serait l'occasion de reprendre le premier tome, de redessiner certaines planches moins bien réussies, l'étoffer de quelques bonus, et de le republier en "beau livre" cette fois... Bref, tout vient à temps à qui sait attendre. S'il y a des fans pressés, qu'ils se fassent connaître, ça m'encouragera ;-)
Et comme une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, sachez que je participerai aux 24 heures BD d'Angoulême pour la prochaine édition, fin janvier 2013. J'ai reçu le mail de confirmation hier, moins d'une heure après m'être inscrit, ce qui m'a fait bien plaisir vu que dans la section amateur, les places sont parfois un peu difficiles à obtenir. Même qu'ils m'ont déjà préparé
une jolie petite page d'auteur avec Monsieur Hibou et tout (mais forcément, il n'y a encore rien à y voir).
Pour ceux qui se demandent kékécékéçaencore, vous pouvez aller revoir
ce petit post que j'avais réalisé en marge des 24 heures de l'année passée, auxquelles je n'avais pas participé officiellement car je n'avais pas pris congé
Cette année, j'avais précieusement gardé deux jours de congé pour pouvoir participer à fond à ce qui, il faut bien le dire, tient plus de l'exploit sportif que de la création artistique pure, mais voilà: qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour le fun. On en reparlera les 29 et 30 janvier prochains donc !